Quandvient le moment de passer à l’action, au lieu de vous dire « Je ne le sens pas » (ou simplement agir selon votre humeur) et ainsi céder à la procrastination, dites plutôt : 1. Cela fait partie de mon plan, je dois le faire. 2. L’ancien moi a dit de le faire, et le futur moi va m’en remercier, donc je vais le faire. 3.
Jeme sens seul la plupart du temps (ou tout le temps actuellement) et je ne sais pas ce que je fais avec ma vie. Donc, j'ai pris la décision à faire les choses que j'aime. Et franchement, je ne sais pas qui je suis vraiment ou ce que j'aime faire sauf qu'écouter de la musique ou lire les choses. La langue français est devenu maDepuisdeux semaines, je me retrouve à 800km de chez moi, pour mes etudes. Je réalise une bilicence qui n'existe que dans deux villes dans le nord de la France et étant originaire de la région toulousaine, c'est en ce moment très dur pour moi de m'aclimater. Ayant déjà obtenu une licence à Toulouse, je ne me sens pas à ma place ici
Quandje vais à la sortie de l'école de mon garçon, je me sens complètement à ma place, je ne me sens absolument pas décalée par rapport aux autres mamans. Je me demande s'il n'y a pas d Je me sentais différent, prêt à d’autres choix. L’austérité, le renoncement, la négation ne m’étaient pas complètement étrangers : j’y avais mordu, comme on le fait presque toujours, à vingt ans. » A moins de cet âge, j’avais rendu visite au vieil Epictète dans son taudis de Suburre avant son exil. (158) Mais Epictète renonçait à trop de choses, et je m’étais .